« Je suis la Voie, la Vérité, la Vie »

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« Si Mon peuple ne veut pas se soumettre, Je suis forcée de laisser aller le bras de Mon Fils. Il est si lourd et si pesant que Je ne puis le retenir ». Ainsi commence, le 19 septembre 1846, le long message délivré par la Sainte Vierge aux enfants de la Salette. La Sainte Vierge leur disait qu’elle prie sans cesse pour nous et sans cesse retient le lourd bras de son Fils. Si le terrible incendie d’hier soir n’a extraordinairement fait aucune victime, ni parmi les visiteurs puisqu’il s’est déclaré après le départ de ceux-ci, ni parmi le personnel de la cathédrale, ni parmi les pompiers, il faut y voir l’intervention directe de la Sainte Vierge auprès de son Fils, et nous devons l’en remercier de tout notre cœur.
Il n’en demeure pas moins que la France est touchée dans son âme par le doigt de Dieu. Dieu ne veut plus habiter cette église. La flèche, qui manifeste un pur élan vers le Ciel, s’est écroulée dans le transept, au lieu même où se dit la prétendue messe. Dieu ne veut donc pas de cet élan, et sans doute indique-t-Il qu’Il n’agrée pas le sacrifice dit en ce lieu emblématique de l’hérésie moderniste. C’est grave.
Il n’y a pas de hasard, avec le Bon Dieu. Rien ne lui échappe. Il faut donc décrypter le message public qu’Il nous envoie. Or, qui, honnêtement qui, croyant ou incroyant, osera prétendre avoir la conscience tranquille dans une ville qui décide et accueille les comportements publics les plus offensants envers Dieu ? Hérésie, avortement, « gay pride », laïcité, mépris des Lois divines, tout cela, est un affront public envers le Bon Dieu, et il faudra le payer.
La cathédrale Notre-Dame de Paris fut érigée et gardée par la Foi d’un peuple. Si reconstruction il y a, ce doit être commandé non pas pour la préservation de notre « patrimoine artistique », mais par la Foi et le repentir public. Sinon, craignons que le bras de Dieu ne s’abatte plus fort encore !

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